
je m'y suis essayé deux fois cet hiver (j'avais trop envie de déclencher avec le sigma 150 macro fraichement reçu), c'est pas facile, beaucoup de déchets : j'avais testé 3 méthodes de prise de vue;
-une avec le flash en synchro hautes vitesses qui est sensé suivre les vitesses du boitier..
Mais comme je n'ai qu'un flash, celui ci n'était pas assez puissant pour éclairer les gouttes coorectement, l'ensemble restant très sous exposé... Je dois retester avec l'halogène du salon braqué sur le robinet en complément du flash................. .
- la seconde, qui rejoint la problèmatique ci dessus, consiste a diminuer la puissance du flash pour dépasser les capacité de vitesses déjà halucinante du boitier (40d = 8000ième de secondes quand même).. Ainsi il y a une position sur le flash qui divise sa puissance par 1/4, 1/8, 1/64 et moins de puissance = sortie de l'éclair du flash hyper rapide qui fait entrer les prises de vue dans le monde de la "photo haute vitesse" (éclatement en milliers de fragment d'une ampoule ou d'un fruit par un plomb par ex, vous avez déjà tous vu cela

les vitesses sont alors affolantes de l'ordre du 20 000ième au 50 000ième de seconde..
Bon j'ai pas persévéré car l'éclair pour rapide qu'il soit n'est plus assez puissant pour exposer la scène..
Pareil je dois encore tester toutes ces techniques avec l'apport d'un halogène (plus de thune pour m'acheter 3 autres flash...

-La troisième, plus farfelue disons


la ce n'est plus la vue qui compte mais l'oreille et l'intéret d'avoir un "plic-plic-plic" très régulier..
Au bout d'un moment on "sait" quand déclencher dans le noir total.. c'est assez amusant à faire

Voilou pour ce petit retour d'expérience théorique et pratique, après a chacun sa méthode bien sûr
