Une première pour vous mettre sur la voie en guise de qu'est-ce-que-c'est ?
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Non Marchris, je n'ai pas coupé le guidon!
Alors une petite idée?
Vous l'avez peut-être deviné ça vole...
Et oui, mon « bolide » est un planeur.
Il peut aller jusqu'à 15 000 m d'altitude et atteindre une vitesse de 320 km/h comme celui qui suit et qui est un planeur de compétition.
Dans certains modèles, on peut même rajouter de l'eau pour équilibrer l'appareil!
C'est un véritable sport. Une fois dans les airs , le pilote utilise les forces naturelles. Ce sont les ascendances de l'air chauffées par le soleil (convection thermique) et le vent de la montagne (convection dynamique) qui permettent au pilote de monter puis de se déplacer.
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Pour voler sur un planeur, il faut une piste d'au moins 900 m, et on y va accompagné par une voiture!
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Une fois les planeurs amenés en bout de piste
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on procède aux vérifications d'usage, sans avoir oublié son parachute au cas où...
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j'en profite pour vous présenter Jean-pierre mon instructeur d'un jour, qui est aussi le Président du club.
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Puis on prend place dans le cockpit
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Au fait, j'allais oublié un élément essentiel pour le décollage, les galériens!! Si, si, il y a des galériens dans les airs. Ceux là ont troqué les rames et les coups de fouet contre une paire d'ailes et un moteur.
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Allo, ici tour de contrôle, Papa Tango Charly, où êtes-vous ?...
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Décollage immédiat
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Atterissage en douceur, contrairement à ce qu'on peut imaginer quand on voit la petite taille de la roue qui sert de train d'atterrissage.
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Oui, je sais, vous attendiez des photos en vol, mais j'ai préféré laissé mon boîtier sur le plancher de vaches. C'était mon premier vol en planeur et je n'ai pas le D200 tropicalisé et étanche
